Série LAdultère : (Partie 11) Julien Trompe Sa Femme Avec Une Petite Salope
Je me nomme Julien, javais à lépoque 30 ans, jétais mariée à Audrey depuis 5 ans, sans . Je ne suis pas Richard Gire, mais jai un beau visage et un physique tout à fait correct : 1,80 m pour 76 kilos. Avec mes cheveux châtains coupés courts, mes yeux marrons. Jétais très bien avec mon épouse, nous nous aimions comme au premier jour, jamais je ne mimaginais pouvoir un jour, la tromper, néanmoins cétait bien ce quil arriva.
Je travaillais dans une entreprise de service, ayant son siège à côté dun lycée, mes horaires correspondaient à la sortie des classes. Depuis quelques temps, javais limpression dêtre observé en prenant ma voiture sur le parking. En effet, cette jeune fille dune vingtaine dannées se plaçait à langle de la rue et attendait mon passage pour aller prendre son bus. Elle était très belle et très bien faite, plutôt sexy et très attirante. Son corps me plaisait, mais son sourire et ses yeux malicieux en disaient long sur ses pensées. Je sentis tout de suite quelle me trouvait beau et à son goût, car elle faisait exprès de me mater de la tête aux pieds à chaque fois que je la croisais et elle restait là, me dévisageant en me souriant.
Il ny avait aucun doute, elle mallumait, voire maguichait, moi, un homme marié de 30 ans. Jusquoù pouvait-elle aller, me draguait-elle ou était-ce un jeu ? Je navais aucune envie de le savoir même si jadmirais son cul et ses seins qui me paraissaient magnifiques. Pour tenter une expérience, ce soir-là, je marrêtai au bar den face. Me voyant attablé à la terrasse du café, elle ne prit pas le bus et vint sinstaller à une table voisine se retrouvant ainsi, pile en face de moi. La jeune fille ne me quittait pas des yeux, elle me souriait à chaque fois que je relevais la tête de mon journal :
Comment tappelles-tu ? Lui demandais-je en restant assis.
Lucie ! et toi ? Me répondit-elle en se levant et en se mettant assise à ma table.
Je mappelle Julien. Pourquoi me regardes-tu comme ça tous les jours ? Tu sais ça me gêne.
Je vous trouve trop beau, vous me plaisez beaucoup Julien. Vous savez les garçons de mon âge ne mintéresse guère, je préfère les hommes mûrs.
Je ne rêvais pas, Lucie me draguait ouvertement, elle mexcitait avec sa mini-jupe et son décolleté laissant entrevoir sa belle poitrine. Je changeai de conversation en appelant le serveur qui passait devant nous. Javais payé ma consommation et son diabolo, au garçon de café, je mapprêtais à partir :
Tu peux me ramener chez moi, jai loupé mon bus.
Tu habites où ? Ma voiture est là. Lui dis-je en montrant ma Ford garée sur le parking.
Oui je sais ! Je nhabite pas loin de chez toi, je tai déjà vu avec ta femme au guignol.
Jétais stupéfait, elle savait où jhabitais et que jétais marié et pourtant Lucie était prête à monter avec moi. Je lui avais demandé de me rejoindre discrètement sur le parking que lon ne me voit avec elle. Lorsque nous fument dans la voiture sur le chemin du retour, nous avions fait un peu plus connaissance, Lucie sétait volontairement vieillie de deux ans, elle mavoua quelle avait 18 ans et quelle passait son bac en fin dannée.
Tu sais, je suis majeure Julien. Me dit-elle en me montrant sa carte didentité.
Je lui avais dit que jétais marié et que jaimais ma femme et que pour le moment malheureusement, je navais pas la chance de connaitre la paternité. Je ne lui dis pas que cétait la raison pour laquelle notre couple commençait à battre de laile. Après dix minutes de route, Lucie prit ma main posée sur le levier de vitesse pour la mettre sur la peau du haut de sa cuisse. Machinalement, je lenlevai pour passer la cinquième alors que je ne devais pas rétrograder. Ce fut elle qui posa la sienne sur ma cuisse, jétais maintenant en pleine érection, Lucie était trop bandante.
Elle me caressait et remontait sa main au fur et à mesure, jusquà avoir sa main sur mon sexe au-dessus de mon pantalon :
Pour un mec qui ne veut pas tromper sa femme ! Me dit-elle en appuyant fermement ma verge dans sa main.
Arrête Lucie, ce nest pas sérieux. Oui ! Tu me fais bander mais je ne peux pas faire lamour avec toi.
Arrête-toi là sur ce petit parking, alors ! Je vais te faire une gâterie et peut être que demain tu voudras aller plus loin.
Lucie navait pas attendu que ma voiture soit stationnée, elle déboucla ma ceinture, descendit le zip de la fermeture éclair et commença à passer sa main dans mon boxer. Je mappuyai sur les jambes afin quelle puisse descendre lensemble à mi-cuisse. Elle me suça quelques minutes, javais trop envie pour lui refuser, lorsque javais senti que mon plaisir allait venir, je lui dis de prendre un mouchoir sur le tableau de bord puis elle me finit à la main, éjaculant dans le papier quelle avait mis sous ma queue. Je la relevai de sa position, je lui pris la tête avec mes deux mains et nous nous sommes embrassés :
Tu as été formidable Lucie, merci mais je préfère en rester là.
Je lavais raccompagnée jusquà chez elle, nous avions parlé, elle me posait des questions intimes sur la vie de couple et je lui demandai :
Et toi, tu as déjà fait lamour Lucie ?
Bien sûre ! Jai lair dune pucelle ? Je ne suis pas jeanne dArc.
Javais pensé à elle toute la soirée et toute la journée du lendemain me demandant si jallais la voir le soir, sachant que javais refusé de coucher avec elle la veille. Mais, il ny eut pas de suspense, elle était bien au même endroit le lendemain, attendant ma venue. Après nous être fait la bise discrètement, elle me demanda de la raccompagner une nouvelle fois. Jallais refuser, je savais ce quil allait arriver, elle me ferait encore une fellation et je ne pourrais pas refuser, Lucie me fascinait par sa beauté mais aussi par sa capacité dêtre une jeune vicieuse comme pas deux :
Je te jure que tu ne regretteras pas, je naurai pas besoin de mouchoir ce soir, javalerai tout. Allez emmène-moi.
Nous nous étions arrêtés au même endroit, elle était gourmande de ma queue quelle prit dans la bouche, sans que je lui demande.
Tu as aimé, tas vu, jai tout avalé jusquà la dernière goutte.
En effet, Lucie navait pas menti, elle avait bu tout mon sperme et semblait prendre du plaisir à le faire après une fellation denfer. Elle tissait sa toile, bientôt, « elle va me demander de la baiser », jen étais quasiment sûr, mais comment refuser ? elle avait un don de persuasion quaucun homme ne pouvait rester de marbre. Jaimais ma femme, je ne voulais pas la tromper. Toute la semaine, se passa comme ça, je lui avais tout de même, donner du plaisir en la masturbant, elle jouit très facilement.
Le lundi soir, comme à son habitude, Lucie caressa mon sexe juste après avoir pris place dans la Ford. Nayant pas eu beaucoup de rapport avec Audrey ce week-end, nous nous étions plus ou moins disputé la veille, javais très envie de ma petite lycéenne qui mavait déjà excité en membrassant quelques minutes plus tôt, ce qui en disait long sur ses intentions. Elle sétait frottée contre moi tout en me prenant la main pour que je caresse les seins.
Je posai ma main sur sa cuisse, elle en profita pour les écarter au maximum en venant au plus près de moi, afin que jatteigne le but, elle savait comment cela se passait dans une voiture et quest-ce quelle attendait de moi quelques minutes plus tard. Voyant que ma jeune passagère gémissait sous mes doigts pendant quelle me triturait le tissu de mon pantalon, je navais quune envie cétait de marrêter :
Ne prends pas ce parking, Je connais un endroit plus tranquille. Me dit-elle. En gémissant un peu plus.
Arrivé à un kilomètre de son domicile Lucie mavait fait prendre un chemin et me montra un bâtiment désaffecté où je vins me garer.
Tu as envie de moi, ce soir mon chéri ?
Tout ce que tu voudras, je suis très excité.
Je taime Julien.
Elle enleva sa ceinture de sécurité et elle sauta à mon cou. Nous nous étions embrassés sensuellement, Lucie navait pas eu besoin de faire la même chose que la semaine passée, je lui plaisais vraiment. Il faisait très chaud ce jour-là, après quelques caresses intimes, voulant être plus à laise :
Viens dehors Julien nous y seront plus à laise.
Cétait elle qui prenait toutes les initiatives, elle était déjà sortie et passa de mon côté afin que je sorte de la Ford. Elle me prit la main et memmena devant la voiture. Lucie dos à la Ford baissa mon pantalon avant de se coucher sur le capot encore chaud. Elle remonta sa jupe jusquà la taille, pendant que je lui descendis sa culotte. Je maccroupis devant elle et je lui fis un cunnilingus comme jaimais faire, très vite elle eut un orgasme, elle me serrait la tête fortement contre son pubis, elle navait pas envie que je retire ma langue. Mais mon excitation était à son paroxysme, mouillée comme elle létait, je neus aucune difficulté à la pénétrer, elle était prête pour que ma verge aille et vienne dans sa petite chatte trempée de désir.
Javais les mains sur ses hanches, elle essayait de mattirer le plus possible, je résistais en retardant le maximum, jétais profondément en elle lorsque je sentis venir ma jouissance, je retirai mon préservatif et jéjaculai sur son ventre, elle en avait partout, jusquà son décolleté, son chemisier était souillé :
Putain mon chéri tu as envoyé la sauce, je nai jamais rien vu de pareil.
Javais trop envie de te baiser ma puce.
Je sortis la boite de mouchoirs en papier, lui en tendit et messuyai le pénis avant de me revêtir. Nous nous embrassâmes puis je lavais ramenée jusque devant son domicile :
On se revoit demain, je te prends.
Oui ! je taime Julien, viens me chercher le matin aussi, jai envie dêtre avec toi tout le temps.
Ce fut ainsi que commença mon adultère avec la jeune Lucie qui commençait très vite à devenir amoureuse de son prince charmant. Ses copines à lécole étaient toutes jalouses et tous les garçons de son âge bavaient en la voyant monter dans ma voiture, celle dun vieux, ils auraient tant aimé être à ma place pour la sauter.
Lucie profitait pleinement de moi, elle prenait beaucoup de plaisir à mapporter son savoir-faire malgré son âge. Moi je nageais dans le bonheur, surpris par cette jeune femme qui me faisait des caresses très érotiques et des fellations magistrales. Je profitais delle matin et soir, moi aussi, je ne pouvais plus me passer de ma jeune maitresse qui se faisait prendre dans toutes les positions, même les plus inconfortables quelques fois, vu létroitesse de lhabitacle dune automobile.
En effet, je nétais pas du tout satisfait sur le plan sexuel, Audrey ma femme, était obligée de senduire le sexe dun hydratant et ne faisait lamour avec moi quune fois par semaine et en position unique, celle du missionnaire. Elle ne connaissait pas lorgasme, à croire quelle ne couchait avec moi que pour la procréation. Alors quavec Lucie, je vivais nos jouissances pleinement. Elle mavait avoué que la première fois quelle eut son premier orgasme, cétait sur le capot de ma Ford, mes doigts la fouillaient, elle mouillait abondamment. Dun seul coup, elle sentit monter en elle le plaisir, elle tremblait, elle était comme électrisée puis des jets puissants sortirent de sa chatte, elle éjacula en criant son bonheur. Depuis, elle jouissait de cette façon à chaque fois que je la caressais ou je la pénétrais, elle maimait, je la rendais heureuse.
Pendant plusieurs mois, nous vivions sereinement notre aventure, Lucie était éprise, tandis que je vivais des moments formidables entre ses cuisses ou dans sa bouche. Mais le drame arriva, le jour où je lui annonçai notre séparation. Audrey avait eu un doute, elle avait le sentiment que je la trompais. Un soir à la sortie de travail, elle mavait suivi et mavait vu devant le lycée monter une jeune femme dans ma voiture. Elle nétait pas allée plus loin car elle nous avait vus nous embrasser et cela lui suffisait pour me menacer. Elle était enceinte de six semaines et me posa un ultimatum. Lucie fut très triste, elle ne comprenait pas mon choix, elle venait de me perdre. Je venais de choisir de rester avec ma femme. Ce fut son premier chagrin amour.
Moi aussi, jeus des difficultés à men remettre, le temps passait et Lucie me manquait énormément mais je savais quelle deviendrait vite une petite salope. Heureusement, Audrey qui avait compris pourquoi je lavais trompée, ne voulant pas me perdre pour une seconde fois, fit le maximum pour mon plaisir sexuel et trouva son bonheur également.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Julien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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